Une initative de
Marie de Nazareth

FAQ

Née le 14 mars 1897 à Caserte en Italie, Maria Valtorta est une laïque catholique italienne, membre du Tiers-Ordre des Servites de Marie.

Jeune étudiante, elle est très douée pour les matières littéraires, beaucoup moins pour les disciplines scientifiques. Cela ne l’empêche pas de compléter en moins de 20 mois tout son parcours d’étude qui va de la 6ème jusqu’à la terminale.

Parallèlement, sa formation spirituelle se précise. L’Histoire d’une âme lui fait comprendre qu’elle doit parcourir le même chemin que sainte Thérèse de Lisieux (pas encore béatifiée à l’époque) dans un abandon confiant et un amour généreux. Plus tard sainte Thérèse devient sa « marraine » lorsqu’elle se donne comme hostie à Jésus.

Atteinte par une maladie paralysante, elle ne quitte plus son lit dès sa 37ème année. Au cœur de sa souffrance, elle fait l’expérience de l’amour de Dieu, bénéficiant de grâces mystiques.

De 1943 (1ère vision le jeudi saint) à 1947, elle écrit quinze mille pages de cahiers d’une traite et sans rature. Il s’agit essentiellement de la vie de Jésus qu’elle reçoit par visions et dictées, et qui s’intègre harmonieusement aux Ecritures Saintes et à la Tradition de l’Eglise.

Ses écrits, tous titres confondus, sont diffusés à ce jour à plus de quatre millions de volumes dans le monde entier.

Inconnue de son vivant, Maria Valtorta meurt le 12 octobre 1961 à Viareggio quelques années après la publication, alors anonyme, de ses écrits. Elle est enterrée à Florence dans la basilique de la Santissima Annunziata, où est inscrit sur sa tombe "Divinarum rerum scriptix" (historienne du divin).

Maria Valtorta écrit ce que lui dicte Jésus, ou décrit ce qui se présente à elle.  

S'il s'agit d’une dictée, et qu’elle se rapporte à un passage de la Bible, Jésus commence par lui faire ouvrir le Livre au passage qu'Il veut expliquer.   

Si c’est une vision, elle a d’abord une image initiale qui est généralement le point culminant de la vision, puis elle se déroule dans l’ordre.

Maria Valtorta entend les sons, sent les odeurs, elle peut se retourner, regarder à droite à gauche. 

Elle note elle-même ses visions au moment-même où elles se présentent à elle, on peut donc dire que c’est une "pure source". 

Elle doit posséder une très grande mémoire visuelle et une grande attention à toutes sortes de détails car cette œuvre est d’une précision extraordinaire. 

Jésus insiste pour une fidélité du récit jusque dans ses détails, et ce sont eux qui vont donner une multitude de preuves scientifiques de la véracité de cette œuvre. 

Les écrits de Maria Valtorta entrent dans la catégorie de ce que l’Eglise Catholique nomme les Révélations privées.

En 1948, Pie XII, qui avait lu l’œuvre en entier, déclare lors d’une audience privée : "Publiez l'œuvre tel quelle. Il n’y a pas lieu de donner une opinion quant à son origine, qu’elle soit extraordinaire ou non. Ceux qui liront comprendront. "

De nombreux saints et bienheureux, dont Padre Pio et Mère Teresa, et de nombreux cardinaux et évêques, se sont prononcés très favorablement sur ces écrits.

En 1960, le Saint Office met à l’index "Il Poema Dell’Uomo-Dio" pour défaut d’imprimatur. A la même époque, Faustine Kowalska, canonisée par Jean-Paul II en l’an 2000, est également mise à l’index.

En 1966, Paul VI supprime l’index des livres prohibés.

Depuis 1975, l’imprimatur n’est plus requis pour les Révélation Privées.

Ainsi, l’œuvre se répand mondialement avec l’autorisation tacite de l’Eglise, qui est "confiante dans la conscience mature des fidèles"  (Cardinal Ottaviani le 14 juin 1966)

Le Catéchisme de l’Eglise Catholique de 1992 évoque les révélations privées :

"L’Économie chrétienne, étant l’Alliance Nouvelle et définitive, ne passera donc jamais et aucune nouvelle révélation publique n’est dès lors à attendre avant la manifestation glorieuse de notre Seigneur Jésus-Christ" (Dei Verbum 4). Cependant, même si la Révélation est achevée, elle n’est pas complètement explicitée ; il restera à la foi chrétienne d’en saisir graduellement toute la portée au cours des siècles. (article 66)

(…)
Au fil des siècles il y a eu des révélations dites "privées", dont certaines ont été reconnues par l’autorité de l’Église. Elles n’appartiennent cependant pas au dépôt de la foi. Leur rôle n’est pas "d’améliorer" ou de "compléter" la Révélation définitive du Christ, mais d’aider à en vivre plus pleinement à une certaine époque de l’histoire. Guidé par le Magistère de l’Église, le sens des fidèles sait discerner et accueillir ce qui dans ces révélations constitue un appel authentique du Christ ou de ses saints à l’Église. " (article 67)

Les écrits de Maria Valtorta répondant entièrement aux critères demandés par l’Eglise, on peut donc suivre sereinement les instructions de Jésus : « Prenez cette œuvre et ne la scellez pas, mais lisez-la et faites-la lire » (3 février 1947)

En 2001 les Servites de Marie de Marie demandent l’ouverture de son procès de béatification.

Le 15 octobre 2011, la messe du cinquantième anniversaire de sa mort est présidée à Florence par un ancien nonce apostolique, Mgr Pier Giacomo De Nicolò, archevêque titulaire de Martana.

En 2019, Emilio Pisani, président de la Fondation héritière de Maria Valtorta, a conféré à Me Carlo Fusco, avocat de la Rote* et postulateur pour la cause des saints, le mandat d’agir devant les autorités ecclésiastiques compétentes pour obtenir le recueil des témoignages sur la vie de Maria Valtorta et, à cette occasion, les preuves de l’exercice héroïque de sa pratique des vertus chrétiennes.
Maria Valtorta étant décédée dans l’archidiocèse de Lucques, il a été demandé à l’Ordinaire du lieu son avis sur la possibilité que le Diocèse de Rome s’en occupe. L’Ordinaire de Lucques a répondu affirmativement.
Un prêtre du Vicariat de Rome a donc commencé le recueil de ces témoignages.
Les futurs communiqués à ce sujet seront publiés sur le site de la Fondation héritière de Maria Valtorta : www.mariavaltorta.com

Plus de détail sur l’historique de la publication de l’œuvre sur ce lien.

http://www.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta09.htm

L'Association Marie de Nazareth vous invite à prendre connaissance de ce communiqué :

Comment aborder les écrits de Maria Valtorta ?


* La Rote romaine est l’un des trois tribunaux de l’Église catholique romaine.

Jésus a voulu que cette œuvre soit scientifiquement irréprochable, afin de répondre aux exigences rationnelles de notre époque.

"Nous avons affaire à un monde obtus et mauvais — même dans les milieux ecclésiastiques —, à un monde qui ne se soucie guère de relire ces écrits pour pouvoir y reconnaître ma présence et les approuver, mais qui porte toute son attention à éplucher l’ouvrage dans le seul dessein d’y trouver un mot qui puisse passer pour une erreur théologique ou simplement historique, que ce soit dû à l’écriture incertaine de l’écrivain ou à une erreur du copiste. C’est la pure vérité. J’agis donc en sorte que leur animosité soit déçue." (1)

Ainsi, Jésus insiste pour que Maria Valtorta note tous les détails perçus lors de ses visions.

"Souviens-toi d'être tout à fait scrupuleuse pour répéter ce que tu vois. Même une bagatelle a de la valeur […] dans la hâte d'écrire, et à cause de ton état particulier de santé et de l'ambiance où tu te trouves, il t'arrive d'omettre quelque détail. Il faut l'éviter, mets-les au bas des pages mais indique-les tous. Ce n'est pas un reproche mais un doux conseil de ton Maître." (2)

À l’époque, même Maria Valtorta ne comprend pas pourquoi Jésus lui demande de noter tous ces détails. On le comprendra seulement des décennies plus tard, grâce au polytechnicien Jean Aulagnier. Ses travaux sur l’œuvre prouvent sa véracité, que ce soit en archéologie, en astronomie, en géographie, en histoire, en botanique, en ethnologie… puis c’est au tour de l’ingénieur Jean-François Lavère, qui confirmera et approfondira le travail de Jean Aulagnier sur cette œuvre unique dans l’histoire de l’humanité.

 

(1) "Les Cahiers de 1943", dictée du 21 janvier (Centro Editoriale Valtortiano)

(2) "Les Cahiers de 1944", dictée du 25 janvier (Centro Editoriale Valtortiano)

Les extraordinaires visions de Maria Valtorta sont tellement nombreuses (652) qu'elles ont permis de reconstituer un calendrier de Jésus au jour le jour, qui est très précis pour toute la partie de la vie publique du Christ. 

Ce calendrier a été établi par Jean Aulagnier (1) et révisé par Jean-François Lavère (2).

Maria Valtorta, elle, n'avance aucune date.

Pourtant son récit comporte une masse d'indices chronologiques. Il y en a plus de cinq mille, indépendants entre eux pour beaucoup. Tous sont parfaitement cohérents et compatibles les uns avec les autres, ce qui du point de vue scientifique est statistiquement inexplicable : Un mathématicien a estimé, d'après les données fournies, que la probabilité était de 1 sur 1084, soit un nombre gigantesque relevant plus du miracle que des statistiques. Cette cohérence est d'autant plus étonnante que Maria Valtorta a reçu ses visions dans le désordre.

Jésus nous explique :

"Des nécessités de réconfort et d’instruction pour toi, ma bien-aimée, et pour d’autres, m’ont contraint à suivre un ordre spécial pour donner les visions et les dictées qui s’y rapportaient. Mais je vous indiquerai, au moment voulu, comment répartir les épisodes des trois années de vie publique.

L'ordre des évangiles est bon, mais pas parfait chronologiquement. Un observateur attentif le remarque. Celui qui aurait pu donner l'ordre exact des faits – puisqu’il était resté avec moi depuis le commencement de l'évangélisation jusqu'à mon Ascension -, ne l'a pas fait. En effet Jean, en vrai fils de la Lumière, s'est occupé et préoccupé de faire transparaître la Lumière à travers son vêtement de chair aux yeux des hérétiques qui attaquaient la réalité de la Divinité enfermée dans une chair humaine. Le sublime évangile de Jean a atteint son but surnaturel, mais la chronique de ma vie publique n'en a pas été aidée.

Les trois autres évangélistes sont semblables en ce qui concerne les faits, mais ils altèrent l'ordre du temps, car un seul des trois a été présent à presque toute ma vie publique : Matthieu, et il ne l'a mise par écrit que quinze ans plus tard. Quant aux autres, ils l'ont fait encore plus tard, et après en avoir entendu le récit de ma Mère, de Pierre, ainsi que des autres apôtres et disciples." (3)

(1) Polytechnicien, auteur de :

- "Avec Jésus, au jour le jour" (éditions Résiac)

- "Maria Valtorta, qui es-tu ?" (éditions Résiac)

(2) Ingénieur, auteur de :

- "L'Enigme Valtorta", tomes 1 & 2 (éditions Rassemblement à Son image)

- "Dictionnaire géographique de l'Evangile d'après Maria Valtorta" (éditions Rassemblement à Son image)

- "Dictionnaire des personnages de l'Evangile selon Maria Valtorta", co-écrit avec François-Michel Debroise et Mgr René Laurentin (éditions Salvator)

(3) "L'Evangile tel qu'il m'a été révélé", ch 468.1 (Centro Editoriale Valtortiano)

Comment estimer objectivement le niveau de crédibilité de l’œuvre ?

 

« Eprouvez tout, retenez ce qui est bon » 1 Ts 5, 21

Plus de dix mille détails (en moyenne deux par page) ont été ainsi répertoriés, puis analysés et chaque fois que possible, vérifiés. En théorie, la démarche est simple : il suffit d'examiner les détails un par un, en leur appliquant les quatre critères d'historicité généralement admis par les exégètes contemporains :

Le critère des multiples attestations : quand la même information est répétée par des sources différentes et indépendantes.

Le critère de convergence : quand les différents événements rapportés sont cohérents entre eux (quant à la datation, la progression ou la localisation ; la compatibilité et l'absence d'anachronismes).

Le critère de dissemblance (de discontinuité ou de dissimilitude) : quand les faits rapportés sont peu conformes à l'image qu'en auraient donné spontanément ses partisans.

Le critère de plausibilité : qui analyse les événements rapportés en lien avec le milieu historique dans lequel ils se déroulent. En pratique, cela demande du temps, mais les moyens à la disposition des chercheurs de nos jours n'ont plus rien à voir avec ceux des décennies précédentes. Internet permet en effet (à condition de bien recouper les sources !) de rassembler des informations qui autrefois étaient difficilement accessibles ou dispersées à travers le monde et donc, en fait, inaccessibles au chercheur solitaire.

 

Chaque détail étudié peut alors être qualifié par l'un des huit attributs suivants :

Exact (vrai, vérifié, sûr, prouvé, attesté, incontestable, irréfutable).

Cohérent (concordant, justifiable, harmonieux, logique, rationnel, ordonné, compatible, correct).

Décisif (capital, crucial, déterminant) concerne en particulier les détails permettant de vérifier la cohérence spatio-temporelle : datation chronologique, ou localisation géographique.

Possible (crédible, plausible, vraisemblable, probable).

Improbable (irréel, invraisemblable, douteux, surprenant).

Illogique (contradictoire, anachronique, incohérent, confus, imprécis).

Faux (absurde, erroné, impossible, incorrect).

Irrésolu (invérifiable, ambigu, vague, insoluble) pour ce qui n'a pu être classé dans aucune autre catégorie.

Il faut aussi préciser ici que les moyens mis en œuvre pour simplement vérifier (et pratiquement à chaque fois confirmer !) la véracité de tous ces détails furent très importants et totalement hors de portée de Maria Valtorta. Beaucoup, pour ne pas dire la plupart de ces moyens n'existaient d'ailleurs même pas à son époque : logiciels d'astronomie ; accès aux bases archéologiques israéliennes, syriennes, libanaises ou jordaniennes ; archives d'instituts bibliques ; multitude d'ouvrages anciens numérisés, notamment les récits de voyage des pèlerins en Terre Sainte ; cartes et photos satellites d'Israël, du Liban, de la Syrie et de la Jordanie ; consultation de nombreux écrits des premiers siècles parvenus jusqu’à nous, etc. L'extrême abondance de détails apparemment insignifiants devrait normalement exposer l'auteur à bien des imprécisions, des erreurs ou des contradictions qui pourraient avoir pour conséquence de discréditer l’ensemble de l'ouvrage. Or dans le cas de Maria Valtorta les exactitudes et les cohérences sont si nombreuses que pour les traiter toutes, un livre par thème ne suffirait pas65 !

Pour tenter de faire comprendre l'extrême précision de certaines datations, il semble nécessaire de recourir un court instant aux mathématiques.

Une phase lunaire (par exemple « la pleine lune ») est visible pendant disons trois jours chaque mois. La probabilité pour qu'une description lunaire coïncide avec un sabbat (un jour sur sept) est donc de (3/30)x(1/7) soit environ 1,5 pour 100. Mais quand Maria Valtorta ajoute par exemple que les oliviers sont en fleurs, ou que les blés sont mûrs, ce qui dure moins de 30 jours par an : on a (1,5/100)x(30/365) soit 1 chance sur 1000 que ces informations puissent fournir une date cohérente avec le reste de la chronologie. Si en plus l'événement décrit est identifié par rapport à une fête juive, comme par exemple « huit jours avant la Pâque », on passe alors à (1/1000)x(1/365) soit à peine 3 chances sur 1 million que ces détails indépendants constituent un ensemble exact !

Mais que dire lorsqu'on constate qu'il y a dans l'œuvre plusieurs dizaines de ces dates clés pouvant être établies par recoupement d'au moins trois ou quatre critères de ce genre et parfois plus ! Fait d'autant plus troublant, ces critères sont le plus souvent disséminés comme au hasard dans l'œuvre, parfois à des centaines de pages l'un de l'autre, et passent donc totalement inaperçus si l’on n’en effectue pas une recherche systématique et une collecte méticuleuse !

Ensuite des centaines d'autres dates sont comme accrochées à ces dates clés par des détails décisifs, comme par exemple « le lendemain » ; ou « Trois jours après notre départ »; ou « le sabbat suivant »; ou encore « aujourd'hui, après le sabbat et deux jours »; ou bien « Le soir du vendredi un jour, le soir du sabbat deux jours, ce soir trois jours... » L'étude systématique de tous ces détails décisifs montre alors que la datation des événements est ainsi totalement verrouillée et forme un tout d'une homogénéité insoupçonnable, humainement inconcevable, et difficilement calculable.

Ceci est d'autant plus remarquable et paradoxal que Maria Valtorta ne semble pas un seul instant avoir conscience que la précision de ses descriptions puisse permettre de bâtir cet « exceptionnel calendrier de la vie de Jésus », et qu'en fait, elle ne fournit pas une seule date au sens strict, tout au long des six mille pages de son œuvre ! D’ailleurs, à y bien réfléchir, la chronologie, (la connaissance et l'ordonnance des événements dans le déroulement de l'histoire) semble bien plus utile et riche d’enseignement que la datation proprement dite (la détermination de la date des événements). Mais quel historien, ayant reconstitué minutieusement la chronologie de son récit, résisterait à la tentation de fournir quelques dates pour conforter sa thèse ? Et si l’on ajoute comme je l'ai déjà indiqué, que toutes les visions n’ont pas été reçues par Maria Valtorta dans le bon ordre, alors le mystère s’épaissit encore !

 

Un exemple de méthodologie employée :

La première rencontre avec Pierre et André

Les indices : La rencontre a lieu un samedi, devant la synagogue de Capharnaüm, juste à la sortie de l'office du sabbat. La veille, à l'aurore du vendredi, Jacques et Jean sont venus prévenir Pierre et André à leur retour de la pêche nocturne, qu'ils ont rencontré le Messie. Ils avaient passé toute la journée du jeudi à écouter Jésus – « Nous sommes restés avec Lui toute la journée et jusque tard dans la nuit »48.3 -, et n'avaient donc pas pu accompagner Pierre et André à la pêche cette nuit-là, « un soir où la pêche est si bonne », car la lune était « haute dans le ciel »48.6. Quelques jours auparavant, Jean et Jacques avaient rencontré Jésus au bord du Jourdain, par « une fraîche matinée d'Adar »597.3.

L'analyse : En mars 27, la pleine lune eut lieu le 9. Le jeudi 11, elle passe au zénith à minuit, et c'est le seul jeudi du mois où la lune soit levée juste au coucher du soleil. La rencontre avec Pierre et André a donc eu lieu le samedi 13 mars 27.

Commentaire : Cet exemple montre combien il faut être patient dans la lecture... C'est en effet dans le livre 9 que Pierre, se remémorant sa première rencontre avec Jésus, évoque ce détail apparemment insignifiant « matinée d’Adar » permettant de caler irréfutablement une scène décrite dans le livre 2 !

 

Source : « L’Enigme Valtorta » de Jean-François Lavère, p 67, en téléchargement gratuit ici 

On trouve un indice dans Le livre d’Azarias, au dimanche des Rameaux : « Sois toujours reconnaissante à ton Seigneur de t'avoir fait connaître quelques-unes des mille sept cent trente-sept semaines qu'il vécut dans le monde »

Le séjour terrestre de Jésus a donc duré 1737 semaines, (soit 12 159 jours). Entre le mercredi 13 décembre -5, jour présumé de la naissance du Sauveur, et le vendredi 5 avril 30, jour de sa Passion, il s’écoula « mathématiquement » 1738 semaines.

Pour les historiens, il n’y a pas d’an « zéro », ainsi le lendemain du 31 décembre -1 fut le 1er janvier +1.

Jésus avait donc un peu plus de 33 ans et 3 mois lors de sa Passion et sa Résurrection.

 

Pour plus de détails, télécharger l’Enquête sur la datation de la vie de Jésus de Jean-François Lavère

Jésus nous dit :

"J'ai dicté à Maria Valtorta, âme-victime, une œuvre merveilleuse. De cette œuvre, Je suis l'Auteur" (1), "Maria est ma plume, rien de plus. C'est moi l'écrivain. Il s'agit de ma pensée" (2)

Ce n'est donc pas un roman, mais Jésus permet néanmoins "par pitié pour les âmes" que l'on considère cette œuvre comme un écrit humain, "afin que tous, tous, tous puissent boire à la Source de vie de ma Parole, même ceux qui n’imaginaient pas me rencontrer en lisant un livre" (3)

Jésus explique que cette œuvre est : 

"Le livre vivant et une parfaite connaissance de Moi et de mon temps" (4) afin de "percevoir Dieu non plus comme une idée abstraite, mais comme une présence réelle qui nous donne une force et une paix nouvelle" (5) C’est "Une nouvelle annonce de l’Evangile qui vient confirmer l’ancienne" (3) "à laquelle est réservé un grand succès dans l’Eglise régénérée" (1), "Un don extraordinaire" (3) "voulue par la Sagesse et la Divine Providence pour les temps nouveaux, une source d’eau vive et pure. C’est Moi, la Parole vivante et éternelle, qui Me suis de nouveau donné en nourriture aux âmes que J’aime." (1)

(1) Mgr Ottavio Michelini « Confidences de Jésus à ses prêtres et à ses fidèles » (éditions du Parvis)
(2) "Les Cahiers de 1945 à 1950", dictée du 2 juin 1946 (Centro Editoriale Valtortiano)
(3) "Les Carnets" p 188 (Centro Editoriale Valtortiano)
(4) "Les Cahiers de 1945 à 1950", dictée du 10 avril 1947 (Centro Editoriale Valtortiano)
(5) "L'Evangile tel qu'il m'a été révélé", ch 180.3 (Centro Editoriale Valtortiano)

Jésus explique les raisons de cette oeuvre :

1 – Combattre les erreurs

2 – Réveiller l’amour de l’Evangile

3 – Montrer les diverses manières de conduire les âmes

4 – Ramener à leur vérité les figures du Fils de l’Homme et de Marie

5 – Connaître la passion de Jésus

6 – Montrer la puissance de la parole de Jésus et ses divers effets

7 – Faire connaître le mystère de Judas.

Jésus développe en détail ces raisons dans le dernier chapitre de "L'Evangile tel qu'il m'a été révélé", L'adieu à l'Oeuvre

Il précise également :

"Je suis venu combler les lacunes des quatre évangiles, et remplacer par des mots justes et acceptables les traductions trop strictement littérales qui ont permis que s’instaure un terrain propice aux plantes de la mauvaise foi, des schismes, des hérésies, des séparations, des négations. […] Ces lacunes que vous n’avez pas su combler ou ces mots impropres que vous n’avez pas su remplacer, avec audace mais saintement, pour sauver la foi et empêcher schismes et hérésies, moi, après vingt siècles et à la veille du temps de l’Esprit, du grand combat entre les ténèbres et la Lumière, je suis venu les faire disparaître. Je suis venu à la défense de la vérité, de la vie de l’Eglise et de la voie de Dieu, que trop de personnes ont oubliées. " (1)

"Les églises sont vides ? À demi-vides ? Entrons dans les maisons !" (2)

(1) "Les Carnets" p 161 (Centro Editoriale Valtortiano)
(2) "Les Cahiers de 1945 à 1950", dictée du 2 juin 1946 (Centro Editoriale Valtortiano)

La plupart des événements relatés par les quatre évangélistes ont une équivalence dans les écrits de Maria Valtorta.

Un index permet de retrouver aisément ces concordances.

"Celui qui est digne de confiance dans la moindre chose est digne de confiance aussi dans une grande." (Luc 16,10)

L’ingénieur Jean-François Lavère a analysé les 15 000 données scientifiques que l’on peut observer dans les descriptions de Maria Valtorta, dans des domaines aussi variés que l’astronomie, la botanique, la zoologie, l’ethnologie, la géographie, la géologie, l’histoire, la métrologie, la numismatique… ces connaissances sont remarquables à plus d’un titre : Elles confirment la validité scientifique de l’œuvre, et permettent une contextualisation des textes évangéliques.

Cette rubrique a vocation à s’étoffer au fur et à mesure des découvertes de Jean-François Lavère.

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Le premier a été érigé à Nazareth entre 2001 et 2012 grâce au soutien de 20 000 donateurs, principalement français et nous espérons le développer encore bientôt. D'autres sont en cours de réalisation, comme au Liban, au Rwanda, ou en projet, en France notamment.

Internet

L'Association Marie de Nazareth œuvre également sur le continent numérique et souhaite le faire de plus en plus. Cette activité consiste notamment à éditer le présent site Internet en 6 langues, à produire des vidéos sur notre chaîne YouTube, à envoyer la courte méditation quotidienne "Une minute avec Marie", diffusée en 6 langues à 200.000 abonnés, qui permet de découvrir chaque jour un nouvel aspect du mystère de la Sainte Mère de Dieu, Notre Histoire avec Marie, pour retrouver nos racines chrétiennes, ou à lancer d'autres projets (comme par exemple Aleteia, les Questions de fondHozanaLa sélection du jour, etc).

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